A croire que le sujet a touché : lire ce qu'en dit Sophie ou le constat d'Agnès...
Et toi, qu'en penses-tu, Georges ?
Ma mi’, de grâce, ne mettons
Pas sous la gorge à Cupidon
Sa propre flèche,
Tant d’amoureux l’ont essayé
Qui, de leur bonheur, ont payé
Ce sacrilège…
J’ai l’honneur de
Ne pas te demander
ta main,
Ne gravons pas
Nos noms au bas
D’un parchemin.
Laissons le champ libre à l’oiseau,
Nous serons tous les deux prisonniers
sur parole,
Au diable les maîtresses queux
Pas sous la gorge à Cupidon
Sa propre flèche,
Tant d’amoureux l’ont essayé
Qui, de leur bonheur, ont payé
Ce sacrilège…
J’ai l’honneur de
Ne pas te demander
ta main,
Ne gravons pas
Nos noms au bas
D’un parchemin.
Laissons le champ libre à l’oiseau,
Nous serons tous les deux prisonniers
sur parole,
Au diable les maîtresses queux
Qui attachent les coeurs aux queu’s
Des casseroles !
On leur ôte bien des attraits,
En dévoilant trop les secrets
De Mélusine.
L’encre des billets doux pâlit
Vite entre les feuillets
des livres Des casseroles !
On leur ôte bien des attraits,
En dévoilant trop les secrets
De Mélusine.
L’encre des billets doux pâlit
de cuisine.
Vénus se fait vieille souvent,
Elle perd son latin devant
La lèche-frite…
A aucun prix, moi, je ne veux
Effeuiller dans le pot-au-feu
La marguerite.
De servante n’ai pas besoin
Et du ménage et de ses soins
Je te dispense…
Qu’en éternelle fiancée,
A la dame de mes pensée’
Toujours je pense…
Effeuiller dans le pot-au-feu
La marguerite.
De servante n’ai pas besoin
Et du ménage et de ses soins
Je te dispense…
Qu’en éternelle fiancée,
A la dame de mes pensée’
Toujours je pense…
Il peut sembler de tout repos
De mettre à l’ombre, au fond d’un pot
De confiture,
La joli’ pomme défendu’,
Mais elle est cuite, elle a perdu
Son goût “nature”.
De mettre à l’ombre, au fond d’un pot
De confiture,
La joli’ pomme défendu’,
Mais elle est cuite, elle a perdu
Son goût “nature”.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire